…

Ma poésie puissante à fond
Sur l’île où les cygnes se souviennent
Nous nous sommes ennuyés dans tous les endroits que nous avons fréquentés
L’obscurité ; condition de notre nudité.
La traversée des gares comme seule impression de l’écoulement du temps
Nos paumes sentent le tabac froid
Mes amis sont partis cueillir le maïs