Des citations que j’aime bien
Érigez des plaques commémoratives en cuivre dans les endroits (publiques ou privés) où vous avez connu une révélation ou une expérience sexuelle particulièrement satisfaisante…
Et quelques rencontres seuls furent comme des signaux venus d’une vie plus intense, qui n’a pas été vraiment trouvée
On pratique la théorie, on les terrorise
Vous êtes « celui-qui-tend-l’autre-joue-et-l’autre-fesse » mais nous qui sommes jeunes et beaux, répondons Révolution lorsqu’on nous dit souffrance
Plus la machine sociale produit d’aliénation, plus l’énergie sociale doit être canalisée pour en assurer la bonne marche… encore plus de publicités pour vendre des marchandises superflues, plus d’idéologies pour embobiner les gens, plus de spectacles pour les pacifier, plus de police et de prisons pour réprimer le crime et la révolte, plus d’armes pour concurrencer les États rivaux… Tout ceci produit encore davantage de frustrations et d’antagonismes, lesquels exigent encore davantage de spectacles, de prisons, etc. Comme ce cercle vicieux se perpétue, les véritables besoins humains ne trouvent de satisfaction qu’incidemment, ou pas du tout, tandis que pratiquement tout le travail est canalisé vers des projets absurdes, redondants ou destructeurs, qui ne servent qu’à maintenir ce système.
La poésie se lit sur les visages. Il est donc urgent de créer des visages nouveaux.
On pourra pas dire qu’nos vies ont manqué d’charme
Et nous allions d’un bar à l’autre en donnant la main à diverses petites filles périssables comme les stupéfiants dont naturellement nous abusions. Tout cela n’était que relativement drôle.
Cheveux doux, regard pourpre, on s’attrape sur l’boulevard On s’étouffera dans la douce, d’l’encre noir sur le buvard Et j’en ai bavé, pour l’avoir dans mon plumard
Allez ma belle, ne me laisse pas dans toute cette laideur !
Il est temps de s’apprêter à descendre le veau d’or
il restait tant de ciel dans tes jeux !
Il y en a qui ne se sont saoulés qu’une seule fois, mais elle leur a duré toute la vie.
Il faut être toujours ivre, tout est là ; c’est l’unique question. Pour ne pas sentir l’horrible fardeau du temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve.
Mais de quoi ? De vin, de poésie, ou de vertu à votre guise, mais enivrez-vous !
La vie est autre que ce qu’on écrit